Pour cette pandémie covid-19, l’évidence pour moi :

Pour cette pandémie covid-19, l’évidence pour moi :
02 avril 2020, par Yves Chosson (Mise à jour 03 avril 2020)

Quand on ne dispose que d’un seul médicament ou d’une combinaison de médicaments, même controversés pour traiter des patients, sans rien d’autre, il est de notre devoir d’essayer sans attendre ce dont on dispose. Ensuite au vu des résultats on poursuit ou on abandonne. Dans le même temps on poursuit la recherche d’autres molécules pouvant être plus performantes ou au moins aussi efficace avec moins d’inconvénients.

Dans le cas du covid-19, il a été souhaité le traitement à la chloroquine ou son dérivé Hydroxychloroquine1 avec antibiotique.
Il n’y a pas lieu de l’interdire ou de limiter sa consommation par obligation de prescription médicale. La chloroquine a été prise sans ordonnance par plus d’un milliard de personnes depuis sa fabrication. Nombreuses sont les personnes qui en ont pris toute leur vie. Il y a donc des doses présentant que très peu de risques et c’est le produit pharmaceutique le mieux connu au monde.
Il est vrai, que si les doses consommées sont excessives, le patient courre un danger, mais le danger peut être éviter lorsque le patient est sous surveillance en hôpital. C’est le personnel hospitalier qui est responsable du suivi des patients. Ce n’est pas aux responsables politiques de se substituer au corps médical, d’autant plus qu’il n’est ni compétant, ni proche des patients.

La chloroquine ou son dérivé est le produit pharmaceutique parmi les moins onéreux. Ce n’est donc pas son faible coût qui peut justifier son interdiction. Bien au contraire pour le gouvernement, ce produit comparé à d’autres est une aubaine extraordinaire pour l’économie nationale.

Vers le 20 Janvier 2020, la chloroquine a été déclarée comme substance vénéneuse parce que des doses consommées trop élevées, présentent des dangers. Mais tout consommable pris en excès présente des dangers, même les plus courants. Même le plus simple; l’eau par exemple . Boire trop d’eau entraîne à la mort (C’est ce qui est arrivé à une personne qui bu 4 litres d’eau d’un coup). Boire trop d’alcool entraîne aussi la mort. Tout est une question de dose. Laissons au personnel hospitalier prescrire et ajuster les doses sous sa responsabilité. Il a été formé pour le suivi médical.
On ne vous oblige pas de vous procurer une ordonnance pour acheter de l’eau, du sel de cuisine ou du rhum. Pourtant une prise trop grande de chacun de ces consommables est mortelle. Il appartient à chacun d’être responsable. Il appartient à chacun de limiter la dose consommée. Il appartient à chacun d’éviter les consommables toxiques, comme l’alcool.

En France, 7 % des décès sont attribuables à l’alcool




En 70 ans, il n’y a pas eu de législation aussi restrictive que celle imposée en Janvier par le gouvernement français. Remarquez que cette législation est promulguée au moment où la pandémie est certaine ? Il y a des lecteurs qui n’auraient pas tord de trouver un lien entre l’arrivée de cette pandémie et la nouvelle loi.

Tous les médicaments ont la posologie reportée sur le sur-emballage et ou sur la notice. Il y a donc aucune raison de légiférer 70 ans après l’introduction sans ordonnance de la chloroquine sur le marché. Tout au plus , juste un avertissement relatif aux excès sur la notice et l’emballage est suffisant .

D’autres médicaments ont été proposés plus récemment, mais pas au même prix. : Remdésivir, Favipiravir ...
Mais vérifier leur efficacité sur le covid-19 nécessite du temps. On ne peut pas demander aux malades d’attendre. Donc il est compréhensible qu’on doit traité avec ce dont on dispose même si ce n’est pas parfait.
Voyez cette vidéo :


1)Je ne juge pas ici de l’efficacité de la chloroquine ou de ses dérivés. L’avenir nous renseignera.


Lecteurs, je m’adresse à vous. Revoyez cette vidéo avec plus d’attention. Cherchez ce qu’il manque. C’est très indicatif.
Les personnes qui meurent ont tous un arrêt cardiaque. Donc quelque soit le médicament donné antérieurement, le médicament prescrit la veille de la mort peut être accusé d’être la cause. Même un placebo.

Avez vous remarqué ?:
_ Aucun hôpital n’est cité. Comment vérifier ?
_ Le nombre de morts n’est pas indiqué. Çà ne vous gêne pas ?
_ Le pourcentage morts/rescapés n’est pas indiqué. ( ?)
_ L’age des personnes décédées n’est pas indiqué . ( ?)
_ Leur état à l’arrivée en hospitalisation n’est pas indiqué. ( ?)
_ La dose de médicaments prescrite n’est pas indiqué. ( ?)
_ Ont-ils disposé de masque respiratoire (Il n’y en a pas pour tous). Cela n’est pas indiqué. ( ?)
_ Savez vous que des hôpitaux sont débordés ?

Pour la grippe saisonnière il y a toujours des morts quelque soit le traitement. Et, c’est ainsi pour d’autres maladies.
Lorsque l’établissement de soin est débordé, le personnel est obligé de faire des choix. Qui doit être sauvé et qui sera abandonné?

Mieux comprendre ce qu’est une « fausse corrélation » et/ou « l’inversion de la cause et de l’effet » pourraient aider à comprendre et a ne pas gober n’importe quoi.

Avez vous remarqué en bas à droite dans la vidéo la signature ‘Le Point
Voyez l’article ‘Le Point’ du 31 Mars. Il ne cite aucune source. C’est juste signé Jérôme Vincent. On est en droit de penser que l’article est de lui.
Remarquez le propriétaire de la revue Le Point : François Pinault via Artémis

L’action GILEAD SCIENCES INC a commencée à monter début Février alors que la crise s’annonçait. Et, ce n’est pas pour rien. Cette entreprise espérait vendre le Remdevisir. Elle est parmi d’autres entreprises opposée au traitements médicaux qui ne leur remplient pas les poches. Donc les actionnaires et ces entreprises sont en situation de confrontation avec la chloroquine et les dérivés de la chloroquine.

Cette vidéo, et information est pour moi typiquement une propagande pour lutter contre une médication très peu coûteuse.



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