Ceci est faux (Covid)

YCN  04 janvier 2021

__ Cette phrase contient un mensonge : «En dernier recours», dit-il, car pour sortir de cette crise il faut sortir de la pathologie. «Et pour cela, il n’y a pas 36 solutions, ça passe par le vaccin». Voir ici. https://inforussie.com/2020/12/31/lannee-du-vaccin-pour-2021-il-faut-surtout-miser-sur-la-confiance/

C’est la pire des solutions. C’est faux, il y a d’autres solutions :

__ 1) En particulier la vaccination naturelle. C’est la meilleure de toute. Attraper le virus et traiter ensuite après un ou deux jours de fièvre avec des médicaments sans danger tels que l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, etc... Seules les personnes à risques doivent être protégées de la contamination ou en cas d’infection grave, pris en charge rapidement pour éviter l’aggravation.	__ C’est si simple. Est-ce difficile à comprendre ? Aucune introduction dans le corps de produits toxiques qui affaiblissent la santé publique, voire d’handicaper à vie ou de tuer des personnes. __ Pour cette solution,en préventif, il est conseillé au préalable de renforcer ses défenses immunitaires : Zn, D3, baies de sureau, vitamine C, etc. .. __ En deux mois approximativement, le problème du covid-19 disparaîtrait en ne perturbant que peu la société. On peut même espérer que cette forme de vaccination naturelle affaiblira les autres variants sras-cov à venir. (A vérifier) Les individus développeront une vaccination naturelle avec le vrai virus et non pas contre une chimère réalisée en laboratoire pharmaceutique.
2) Une autre solution est d’opter pour la protection totale avec la prise journalière l'hydroxychloroquine ou équivalent.	(Personnellement, j’en ai pris tous les jours durant cinq ans en Afrique sans même avoir vu un médecin -- Mes parents durant toute leur carrière en Afrique - Pas de danger sauf quelques très rare personnes facilement repérables par le médecin) Toutefois cette solution risque de s’éterniser. Elle pourrait être retenue que si la maladie était très dangereuse en l’absence de médicaments efficaces et en attendant des traitements appropriés. Ce qui n’est pas le cas
__ Avant de vacciner, il faut être sûr qu’après vaccination, les patients seront protégés du Covid19. L’efficacité n’a pas encore été prouvé. Il faut être sûr qu’il n’y aura pas de dommages occasionnés – Pas un seul. Même un seul handicapé par un vaccin sur le monde entier, c’est toujours une victime de trop. N’oubliez pas que c’est un véritable drame pour toutes les victimes de la vaccination. __ De plus Il n’est pas nécessaire dans ce cas de vacciner 100 % de la population : Le % de la population à vacciner doit être en rapport avec le taux de contamination. Par exemple, si le taux de propagation est de 2 (T=2), il suffit de vacciner approximativement 50 % ou un peu plus de la population pour stopper la propagation du virus. __ C’est très simple. Pour un taux de 1,5 (T=1,5) il suffit de vacciner approximativement 25 % ou un peu plus. Il se pourrait que ces deux chiffres approximatifs soient même excessifs si des tranches d’âges ne sont pas contaminants.
Le ridicule des actions gouvernementales
Empêcher le franchissement des frontières	__ Le ridicule dans ces actions gouvernementales est d’avoir cru que le virus ne passerait pas les frontières en empêchant les déplacements. Allez, rendez vous à la frontière aux contrôles douaniers pour voir que le personnel des douanes des deux côtés se rencontrent tous les jours. Et au début, c’était sans masques. __ C’est d’autant plus ridicule que l’interdiction de franchir les frontières a été décidée qu’après que le virus soit installé des deux côtés et que les camionneurs n’ont pas été concernés par ces interdictions. __ Les personnes malades restent de préférence chez eux ou à l’hôpital lorsque la maladie est déclarée. Ils ne voyagent pas. Donc le pourcentage de personnes contaminantes est bien inférieur dans la population voyageant que dans le pays où ils se rendent. L’interdiction de franchissement des frontières est réellement abusive.